Ayame (dee)

NanakoArt

Info


Created
3 years, 2 months ago
Creator
NanakoArt
Favorites
4

Profile


Basics

Nom Moritono
Prénom Ayame
Age 23 ans
Genre homme
date de naissance 3 janvier
signe astrologique capricorne
Race Gijinka d'apitrini
Main directrice droite
Taille 1 m 78
poids 79 kgs
Orientation pansexuel
Thème / voix

Ayame est la tendresse et la douceur incarnée. Jamais un mot plus haut que l’autre, toujours attentionné, c’est le genre de personne qui respire l’amour et qui le suinte par tout les pores de sa peau. Il aime profondément les gens, les pokémons, la nature, la vie et fait de son mieux pour toujours la préserver.

Né dans un village de montagne reculé, là où il est nécessaire d’être de type vol pour y parvenir si on vient du pied, il n’a pas été impacté enfant par la guerre qui s’est déroulée trop loin de son petit paradis terrestre. Sa famille était chargée du soin aux pokemons qui aidaient dans les travaux parfois pénibles et utilisaient les vertus des sources chaudes environnantes pour apaiser les maux de la population. Il a une très bonne connaissance des plantes médicinales de montagne et utilise son savoir pour soulager les autres, il est empathique et accepte facilement de soulager aussi les consciences. D’aucun dirait qu’il aurait fait un excellent prêtre ou guérisseur pour peu qu’il soit vraiment formé en ce sens.

Il aime le contact avec les autres, discuter au coin du feu, écouter les récits des anciens, lorsqu’il a du temps libre, flâner en observant la nature lui suffit, ou méditer sur ce qu’il a pu entendre. C’est aussi quelqu’un de très loyal en plus de dévoué.

Il n’est pas d’un naturel craintif normalement, et il ne craint pas la mort non plus, pour lui le karma est important et les actions de nos vies nous poursuivrons dans celles qui suivront.

Likes

  • le thé et les tisanes aux fleurs
  • le printemps
  • l'alcool de prune

Dislikes

  • la violence

Histoire

Si tu a besoin de moi je suis là

Ayame est né dans un village reculé de montagne difficilement accessible et dissimulé par une sorte de brouillard permanent, seuls ceux savant où il se trouvait pouvaient le retrouver quelque part, il n’y avait pas de sentier qui y menait puisqu’il était plus facile d’y accéder en volant, ainsi ceux qui avaient le moyen de voler se chargeait de marchander ce qu’il leur fallait et ceux qui ne le pouvaient pas restaient au village pour produire ce qu’ils pouvaient dans cette zone boisée de résineux.

Leur vie était paisible et ils se trouvaient loin des turpitudes du monde, un peu comme des ascètes ils se contentaient de ce qu’ils avaient même si quelques rares enfants quittaient parfois le nid pour découvrir le monde et s’y perdre.

Ayame n’était pas de ceux-là, il aimait son village et connaissait chacun de ses habitants qui lui rendaient bien son affection si facilement partagée. il avait toujours un sourire, un mot gentil une main aidante pour ses voisins et toutes les tranches d’âge appréciaient ce gamin puis ce beau jeune homme pourtant il n’en abusait jamais, au contraire, plutôt bonne poire ce sont souvent les gens qui abusent de sa gentilesse au grand désespoir de ses parents qui s’ils aiment voir leur fils unique si apprécié, aimeraient bien qu’il se préserve un peu plus.

La vie aurait pu poursuivre son cours si un airmure amoché ne s’était pas écrasé dans leur village. L’homme criblé de flèche était bien mal en point et on lui prodiguait tous les soins nécessaires. Il se rétablira par miracle grâce aux bons soins de ses voisins qui l’avaient hébergé. Leur fille en particulier, sa meilleure amie et la jeune femme pour qui son coeur battait un peu plus fort que pour les autres, avait pris grand soin de cet homme.

Elle était d’un naturel curieux et aimait l’entendre raconter ses voyages, la guerre au-delà, les villes gigantesques bien différente de leur vie fragile.

L’homme lui était prétentieux, imbus de lui-même et hautain. Pour la première fois de sa vie, Ayame n’aimait pas quelqu’un. On était bien loin de la haine cependant et il faisait en sorte qu’il s’intègre parmi eux du mieux possible. Il n’avait de toute façon pas l’intention de rester parmi ces "bouseux".

C’est qu’il avait une mission, lui, il était important lui, c’était un noble lui rien à voir avec eux. En revanche, s’ils n’étaient pas assez bien pour lui, la jolie papilusion était fort à son goût. Sans doute était-il bien un homme important parce qu’on finira par envoyer des soldats le chercher, des hommes sauvages et brutes qui n'hésitent pas à piller leurs maigres réserves pour l’effort de guerre avant d’embarquer avec eux leur chef qui jurera haut et fort de se venger de l’affront que lui aura fait la papilusion en refusant sa main.

Pour les villageois, le pillage était une vengeance déjà bien suffisante en soi et ils ne prêteront guerre attention aux propos d’un homme aussi mesquin. Ils avaient fort à faire pour se préparer pour l’hiver. Malheureusement, la vengeance prendra une forme qu’ils n’étaient pas prêt à devoir affronter. La nuit, certains juenes hommes se faisaient attaquer, des chasseurs ne revenaient pas de la forêt, certains se relevaient fatigués, épuisés, comme vidés de leur énergie.

Ayame se sentait impuissant à aider tout le monde, et son amie Tsubaki se comportait de façon de plus en plus étrange. Une nuit, elle se faufilera dans sa chambre avant de se dévétir devant lui. Il ne compris pas grand chose à ce qu’il s’est passé cette nuit là, mais il se réveillera avec diverse traces de morsure et le souvenir de son amie à califourchon sur lui, en larmes.

Il finira par en parler avec elle et avec ses parents, elle était sous le coup d’une sorte de malediction, elle ne pouvait pas rester au village au risque de le détruire comme une sorte de gangrène. Il devait l’aider, peu importe la manière, et l’hypothèse que l’airmure soit la cause de sa “maladie” finit par être évoquer.

Ils quitteront donc leur village et la paix si cher au coeur d’Ayame et de piste en piste, ils retrouveront la trace de l’homme, puis celle d’une sorcière liée à sa famille, et apprendront que la malédiction de Tsubaki la transformait peu à peu en nukekubi en passant d’abord par la phase rokurokubi.

Ils ne leur restait plus qu’à trouver un moyen de l’empêcher de devenir définitivement un yokai et un certain village caché finit par attirer leur attention. En attendant, Ayame sert de repas à son amie, et s’assure qu’elle ne commette pas de crime en étant sa victime désignée et facile. Il ne sait pas combien de temps il pourra durer comme ça ni combien de temps elle arrivera à lutter contre ses pulsions sanguinaires….

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