Tsubaki

NanakoArt

Info


Created
2 years, 8 months ago
Creator
NanakoArt
Favorites
6

Profile


Basics

Nom Chinokama
Prénom Tsubaki
Age 21 ans
Genre femme
date de naissance 21 octobre
signe astrologique balance
Race Gijinka de papilusion / Yokai rokurokubi
Main directrice gauche
Taille 1 m 65
poids 60 kgs
Orientation attirée par les types feu (ship avec https://toyhou.se/12617294.isuke)
Thème / voix

Tsubaki était une jeune femme plutôt enjouée, un brin taquine, qui animait le village de sa bonne humeur et de ses rêves de grandeur. Elle aimait les contes et en racontait volontiers, les ragots et les rumeurs, bien que peu nombreuses dans son petit monde, faisait son bonheur. Depuis sa malédiction, elle change doucement mais surement, devient plus saracastique, son humour devient noir et elle est parfois incisive. En faite, elle peut sembler plutôt lunatique, tout dépend de l’influence de son côté yokai. Plus le temps passe, plus elle devient mauvaise, mais des choses parfois la ramènent à son humanité et la rendent plus douce. Difficile donc de savoir qui elle est vraiment, en tout cas, plus le temps passe et plus elle aime être un yokai, elle se permet des choses qu’elle n’aurait pas osé avant, elle est plus forte physiquement que bien des hommes et a plus d’assurance que jamais.

Likes

  • les alcools forts
  • la broderie
  • le tissage

Dislikes

  • les trucs sucrés

Histoire

La loi ne nous protège pas

Tsubaki est née dans un village reculé de montagne difficilement accessible et dissimulé par une sorte de brouillard permanent, seuls ceux savant où il se trouvait pouvaient le retrouver quelque part, il n’y avait pas de sentier qui y menait puisqu’il était plus facile d’y accéder en volant, ainsi ceux qui avaient le moyen de voler se chargeait de marchander ce qu’il leur fallait et ceux qui ne le pouvaient pas restaient au village pour produire ce qu’ils pouvaient dans cette zone boisée de résineux.

Leur vie était paisible et ils se trouvaient loin des turpitudes du monde, un peu comme des ascètes ils se contentaient de ce qu’ils avaient même si quelques rares enfants quittaient parfois le nid pour découvrir le monde et s’y perdre.

Tsubaki était de celà et elle rêvait bien souvent enfant de pouvoir déployer des ailes multicolors pour quitter son petit monde étriqué. Dans sa famille, on fabriquait surtout les tissus, en effet, ses parents de type insecte tout les deux produisaient grâce aux attaques sécrétions et toile gluante de quoi faire des tissus résistants après un traitement transmis de mère en fille depuis des générations. Sa mère d’ailleurs la suppliait de rester un conconfort à l’adolescence pour avoir une meilleur maitrise de ces fluides délicats à manipuler. Ce n’était pas du goût de Tsubaki qui voulait pouvoir voler au moins pour négocier aux villages en contrebas du leur quand bien même les ailes de papilusions n’étaient pas les plus à même de résister au froid des hauteurs.

Même si elle avait des rêves de voyages, Tsubaki savait qu’elle ne bougerait pas de chez elle. Une femme perdue sur les routes, avec les rumeurs de guerre, c’était tendre le baton pour se faire battre et dans le fond elle préférait vivre une vie simple sans aventures et les imaginer plutôt que les vivre pour de bon mais mener une vie écourtée et sans doute malmenée.

La vie aurait pu poursuivre son cours si un airmure amoché ne s’était pas écrasé dans leur village. L’homme s’était écrasé à ses pieds et elle avait tout fait pour le soigner. Conduit chez elle, avec l’aide des villageaois et des connaissances éparses qu’ils pouvaient avoir sur comment soigner les blessures de toutes sortes (ils devaient bien se débrouiller puisqu’en autarcie dans un village reculé), elle prendra soin de lui durant toute sa convalescence. Elle se savait jolie, tout les jeunes hommes du village la couritsait mais elle n’avait choisit personne, elle les connaissait trop, comme des membres d’une même famille. Lui s’était différent, il était charmant, il apportait du sang neuf, c’était un guerrier aux histoires de batailles fantastiques.

Elle était d’un naturel curieux et aimait l’entendre raconter ses voyages, la guerre au-delà, les villes gigantesques bien différente de leur vie fragile. Elle buvait ses belles paroles et croyait quelque part qu’il tombait un peu amoureux comme elle, il avait des gestes, des touchés qui l’émoustillait et s’il avait pris son temps, sans doute aurait-elle finit par céder à ses avances. Parfois elle se dit encore qu’elle aurait mieux fait de lui céder puis le laisser partir, c’eut été une disgrâce bien moindre que ce qu’elle subira par sa faute...

Sans doute était-il bien un homme important parce qu’on finira par envoyer des soldats le chercher, des hommes sauvages et brutes qui n'hésitent pas à piller leurs maigres réserves pour l’effort de guerre avant d’embarquer avec eux leur chef qui jurera haut et fort de se venger de l’affront que lui aura fait la papilusion en refusant sa main alors que ce n’était pas sa main qu’elle lui avait refusé mais quelque chose de bien plus intime..

Pour les villageois, le pillage était une vengeance déjà bien suffisante en soi et ils ne prêtèrent guère attention aux propos d’un homme aussi mesquin. Ils avaient fort à faire pour se préparer pour l’hiver. Malheureusement, la vengeance prendra une forme qu’ils n’étaient pas prêt à devoir affronter et elle encore moins. La nuit, certains jeunes hommes se faisaient attaquer, des chasseurs ne revenaient pas de la forêt, certains se relevaient fatigués, épuisés, comme vidés de leur énergie et elle, ces lendemains là, se réveillait nauséeuse, sans souvenir de ce qu’elle pouvait avoir fait, il lui arrivait de vomir du sang et plus le temps passait, plus ses souvenirs se faisaient plus clair et toute l’horreur de ce qu’elle faisait, sans oser en parler, lui revenait au visage.

Un soir, elle décide d’en parler avec Ayame, son ami d’enfance et un homme qu’elle savait de confiance. Mais la nuit ne se passera pas comme elle l’avait pensée et elle abusera de sa gentillesse d’une façon qui lui faisait horreur, à lui qui était comme un frère….

Il finira par en parler avec elle et avec ses parents, elle était sous le coup d’une sorte de malédiction, elle ne pouvait pas rester au village au risque de le détruire comme une sorte de gangrène. Il devait l’aider, peu importe la manière, et l’hypothèse que l’airmure soit la cause de sa “maladie” finit par être évoquée.

Ils quitteront donc leur village et la paix si cher au coeur d’Ayame et de piste en piste, ils retrouveront la trace de l’homme, puis celle d’une sorcière liée à sa famille, et apprendront que la malédiction de Tsubaki la transformait peu à peu en nukekubi en passant d’abord par la phase rokurokubi.

Ils ne leur restait plus qu’à trouver un moyen de l’empêcher de devenir définitivement un yokai maléfique et un certain village caché finit par attirer leur attention. En attendant, Ayame sert de repas à son amie, et s’assure qu’elle ne commette pas de crime en étant sa victime désignée et facile. Il ne sait pas combien de temps il pourra durer comme ça ni combien de temps elle arrivera à lutter contre ses pulsions sanguinaires….

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