Histoire

Du contes de fée à la dure réalité.

dans les légendes sur les yokai, on parle parfois des ningyo, et un compte en particulier s'y rapporte. Celui-ci parle d'un homme qui aimait se perdre dans les plaisirs qu'offrent la cours sous-marine, qui tombe amoureux de l'une de ces sirènes péchée dans son filet. qui l'épouse mais qui ensuite la voit devenir courtisane pour rembourser ses dettes par amour pour lui. Appellée Uondo, elle était réputée pour son chant et sa beauté, et les hommes qui tombaient dans ses filets y perdaient jusqu'au dernier de leurs centimes.

Bien souvent, les contes se teintent de vérité, et il y eu des hommes pour aimer des yokais et inversemeent. Peu d'entre eux sont capables d'amour et encore moins de se reproduie avec cette espèce envahissante mais les ningyo font exceptions à la règle. Malheureusement, on préfère bien souvent les dévorer en sashimi que les épouser puisque leur chair est réputée apporter la vie éternelle ou du moins une longévité exceptionnelle.

Les ningyo bien souvent restent dans leur élément naturel à savoir l'eau. Pas mauvais par nature, ce sont plutôt des opportunistes qui s'ils voient des marins en difficulté n'hésiteront pas à les aider à passer par dessus bord pour s'assurer une ration de protéines supplémentaire facile. D'autres, beaucoups plus rares, préfèrent rester sur terre et mimer les hommes pour assurer leur sécurité, souvent des familles de pécheur capablent de résultats bien plus conséquents que leur semblables humain la pèche étant dans leur nature, ils connaissent les proies et leur environnement, les courants qui mènent les bancs de poissons, peuvent plonger et pousser la nourriture dans leur filet et ils mènent ainsi une vie relativement loin du danger puisque ces mêmes hommes ne se douteraient jamais de la vrai nature de leurs voisins.

Aoi est issu d'une famille un peu plus particulière, puisque du contes Uondo elle est l'héritière. L'une de ses ancètres était courtisanes sous la mer, et celui qui l'a péché s'est mortellement épris d'elle. Pour soulager le fardeau du foyer, elle devient aussi courtisane sur terre afin de participer aux dépenses du foyer et aider à élever leurs enfants seulement, sa beauté, sa connaissance des arts et en particulier son chant si mélodieux a attiré les convoitises et la jalousie. On finit par tuer son mari, un riche daymio la kidnappant pour l'enfermer dans son palais où elle mourra de tristesse et de desespoir, son chant d'agonie se répercutant dans les couloirs et entrainant la folie des résidents du lieu qui finiront par ébréger ses souffrances ainsi que celle du seigneur qui avait apporté la ruine et la terreur en son domaine.

Leurs enfants, eux, on su retenir de cette histoire les répercussions que peuvent avoir les pouvoirs de nyngyo sur les hommes et la nécessité de rester cachés aux regards. Les arts sont étudiés et transmis oralement de géniteur à descendants, et uniquement dans l'intimité du foyer. Pour le reste, on fait tout pour dissimuler sa beauté si on a aquis cette caractéristique, pour taire sa voix. ils vivents à l'écart des autres, pécheurs, bucherons, planteur de riz.

Dans la famille d'aoi, elle semble être la seule a avoir hérité de Uondo la beauté, la voix mélodieuse, le goût pour les arts et l'envie de briller par elle-même. Avec les générations de plus en plus diluées par le sang humain, elle semble presque étrangère aux siens qui la chérissent pourtant ardement et la protègent du mieux qu'ils le peuvent. Mais elle avait beau rester près de leur petite maison au bord de l'eau, à vider les poissons et à se cacher sous des haillons, elle avait beau faire en sorte de ne croiser personne et faire profil bas, sa beauté attire l'oeil d'un jeune garçon du coin, puis d'un autre bien peu habitué à voir telle beauté dans leur campagne bien souvent peuplée de consanguins mal dégrossis. Comme son aieul, elle attire les convoitises, on l'épie, cherche à la séduire, et si elle repousse les avances des uns et des autres pour avoir la paix, on finira par voir sa vrai nature une nuit alors même qu'elle se pensait seule. La rumeur aura vite fait le tour du village, une nyngyo parmis eux pourrait leur approter la fortune pour peu qu'on vende sa chair, mais encore fallait-il s'assurer qu'elle soit bien l'une d'entre elle et comment le faire pour le découvrir sans risquer qu'elle ne s'échappe? Si on la plonge dans l'eau, elle pourrait les noyer avec elle ou s'enfuir facilement?

La solution fut vite trouvée, on allait voir si sa famille en était aussi, à commencer par le petit frère qui malheureusmeent sera noyé faute d'avoir eu les bons gènes sous ses yeux. Son père sera tuée pour avoir essayer de le sauver, passé à tabac alors même qu'il faisait partit de ce village. Sa mère servira elle aussi de test mais le résultat sera aussi peu concluant ses cris vrillants les tympans des villageaois qui l'achèveront d'une flèche pour la faire taire des fois qu'elle puisse les ensorceler. Elle ne pouvait assister à ce carnage de sa famille qu'impuissante dans la cage qu'on lui avait fabriqué. Et si elle n'était pas une nyngyo finalement? Il faut croire que l'horreur de leur geste avait finit par les transformer en véritables monstres puisque la seule solution s'imposant à eux fut de décider de la vendre tout de même comme tel, ou à défaut à un marchand de chair qui trouverait bien une maison de passe qui la voudrait, jolie comme elle était. Elle était trop vieille pour devenir geisha.

Certaines mauvaise langues diront que la trombe d'eau qui s'abat sur le village dans la nuit sera l'oeuvre de cette nyngyo, certains sont inquiets et sans doute qu'ils auraient du se méfier des pouvoirs d'une yokai en sommeil à moins que les dieux eux même aient décidé de punir ce formidable gachis et ces vies perdues pour rien. Toujours est-il que la pluie abondante fera rompre un barrage naturel, provoquant une crue et un débordement de la rivière tel qu'on n'en avait jamais vu dans la région, l'eau rasant tout sur son passage, emportant avec elle la cage de la jeune femme, celle-ci brinquebalée dans tout les sens finira par céder et libérer la sirène qui luttera contre les éléments déchaninés, pas plus à l'abris que les autres si ce n'est sa capacité à se muer en sirène et à nager plus vite, à mieux voir dans l'eau trouble ou à respirer sous l'eau même si l'espèce de boux dans laquelle elle évolue ne lui facilite pas la tache.

Dans le débordement, elle est entrainée bien loin de chez elle, son corps malmené échouera dans une branche plus calme de la rivière. Sa tête ayant heurté un roché, elle ne garde aucun souvenir de ce qu'il s'est passé, elle ne se rapelle pas être sortie de la rivière ni comment elle s'est évanouie suffisement loin du cours d'eau pour retrouver une apparence plus humaine. En tout cas une personne attentionnée lui a apporté les premiers soins et conduit dans ce village où elle va pouvoir sans doute repartir de zero.

Pouvoirs: Voix enjoleuse (basée sur une attaque du pokemon milobellus): Utilisée comme attaque pokemon elle affaiblit et fait perdre des points de vie à l'adversaire, au quotidien elle peut se servir de sa voix pour séduire plus facilement sescibles et leur faire faire plus ou moins ce qu'elle veut tant que ce n'est pas dangereux pour la personne, attention ça ne marche que sur les personnes naturellement enclines à être séduit par une femme Surf: Capable de déclencher un raz de marée mais ça la met KO, peut nager, beaucoup plus vite grâce à sa forme de sirène et respirer sous l'eau.