Kiba

NanakoArt

Info


Created
1 year, 6 months ago
Creator
NanakoArt
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2

Profile


Basics

Nom Aïzawa
Prénom Kiba
Age 31 ans
Genre Femme
Race Gijinka de loup articque
Date de naissance 22 décembre
Signe astrologique capricorne
Taille 1 m 72
Poids 72 kgs (musclée)
Main directrice droitière
Orientation Pansexuelle
Thème / voix "aimer"

Kiba est une femme plutôt simple qui apprécie les choses qui le sont tout autant. Elle sait que le monde n'est pas blanc mais en nuances de gris et n'a pas d'illusions sur le monde qui l'entoure. Pour elle il ne faut pas être mauvais mais être trop bon vous fait passer pour un con, le truc c'est de trouver un bon équilibre dans sa vie et de faire de son mieux. Elle a une certaine empathie qui ne s'étends pas à ceux qui lui font du mal par exemple. Elle a beau avoir été dans la merde la plus profonde elle n'accumule pas pour accumuler mais pour pouvoir couvrir ses arrières et ceux de son clan. L'histoire de robin des bois lui plait beaucoup, voler aux riches pour donner aux pauvres, c'est un joli rêve qu'elle aimerait voir apparaitre mais au lieu de ça elle "donne" aux pauvre le pouvoir d'abattre les riches en quelque sorte. Le monde est violent et c'est pas toujours ceux équipés d'une arme qui le sont le plus... Elle peut avoir des côtés affectueux, est capable d'une franche camaraderie par contre ses colères sont froide et vaut mieux ne pas la trahir parce que la trahison est sévèrement punie dans son clan. Elle ne voit aucun problème à le quitter dans les règles mais i tu vend l'un des tiens, alors tu vaut moins que rien et tu regrettera d'être né. Sa vengeance peut être terrible et sans pitiée.


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Histoire

“Donne ce qu'on t'a donné, prends ce dont tu a besoin, rends coup pour coup et tu survivra sans honte.”

Kiba est née dans une famille pauvre, si pauvre que l'arrivée d'une enfant pas vraiment programmé mettra ses parents dans une merde noire parce qu'un enfant, ça coute cher, et que le travail ne permettra pas de combler les dettes, dettes qui s'accumule à cause des préteurs sur gage peu scrupuleux, au point de tout perdre y compris son honneur et ne voir que dans la mort la seule solution. Elle avait à peine dix ans quand ses parents tentent de se tuer en l'emmenant elle aussi dans la tombe. Le thé amer, elle le vomit et passera quelques jours à l'hopital avant qu'on ne lui annonce qu'elle était désormais seule dans ce monde sans le sous. Enfin, seule, y'a bien un vieil oncle pour la prendre sous son aile, un oncle un peu trop imbibé d'alcool, qui pue la sueur en permanence, vit dans un réduit plus qu'une maison. Mais quand on a rien, on fait avec ce rien.

Dans le fond, il est pas vraiment méchant, juste qu'il se moque de sa propre vie alors s'occuper d'une enfant il n'en est pas vraiment question. Elle-même est assez intelligente pour savoir que la rue, pourtant pas bien sure, l'est plus que se rerouver seule à seul avec lui. l'alcool lui inhibe trop les sens ou la raison pour qu'un jour il dérappe pas avec elle que ce soit violement ou sexuellement. Alors elle traine ses tenues de collégiene de seconde main dans les rues où elle risque pas de croiser un prof qui la dénoncerait pour pas respecter le couvre feu.

Et forcément, quand on est une joli jeune fille en tenue de collégienne dans des rues mal famées, on finit par attirer les mauvais regards. Au collège, elle se battait souvent et avait une bonne droite, il fallait bien ça pour pas finir la tête dans la cuvette des chiottes à cause de groupes de gamines persuadées de valoir mieux qu'elle parce que plus friquée. Mais une bonne droite et savoir se défendre contre des jeunes de son âge, c'est une chose, se défendre contre des adultes, s'en est une autre.

Elle se débattait en essayant de faire lacher un homme bien plus fort qu'elle qui l'entrainait par le bras, mais ses coups de talon dans les jambes semblaient même pas l'émouvoir tout comme les griffures qu'il commençait à présenter sur ses avant bras. Ses appels à l'aide lui donnaient l'impression d'être muette tellement les témoins de la scène, parce qu'il y en avait, n'en avai rien à faire. Surtout ne pas se méler de quelque chose qui ne nous regarde pas, on risquerait d'avoir des ennuis. Elle avait bien compris que ce serait elle plutôt qu'eux, elle n'abandera pas sans se battre de toutes ses forces mais elle savait déjà que ce serait pas suffisant. Voilà, elle allait se faire violer sur un tas d'ordure dans une ruelle sordide et sans doute finir égorgée sur place par le couteau qui aura servit à l'individu pour couper ses dessous et dont il se servait désormais pour appuyer sa menace d'une lame sous la gorge.

La vision rendue flou par les larmes, elle ne verra pas venir le mastiff qui se saisira du singe qui l'agressait par le col pour le projetter plus loin. Celui-ci la bite à l'air fera la rubrique nécrologique du lendemain. -Pas de ça sur mon territoire, faites passer le message les gars. Et effectivement, il n'était pas seul cet homme gigantesque qui prends la peine de s'accroupir devant elle en lui tendant une veste en cuir en détournant le regard. -Couvre-toi gamine, t'es en sécurité pour le moment. Elle ne se le fera pas dire deux fois et prendra la veste bien trop grande pour elle pour s'habiller avec. Qu'allit-elle bien pouvoir faire, ses fringues étaient foutues et elle n'en avait pas d'autres. Il y avait bien son jogging de sport mais ça suffira pas pour les cours elle allait encore devoir mendier auprès des enseignants pour qu'ils voient s'il était pas possible de récupérer un uniforme auprès d'une famille riche qui ne faisait porter que du neuf à ses chérubins. La honte... Oui, se concentrer sur ce genre de détail trivial, c'est plus facile que de se concentrer sur ce qui venait de se passer et les larmes qui coulent encore sur ses joues qu'elle sèche rageusement d'un revers de bras. Sur ça ou le passage à tabac du singe un peu plus loin qui finira émasculé à coup de tesson de bouteille. très très sale comme spectacle.

Elle avait aucune envie de suivre ces types louches et le vieil homme semble le comprendre aussi lui laisse-t-il sa veste en lui disant qu'elle devra la lui ramener à l'adresse indiquée dans les cartes de visite qui se trouvent dans sa poche.

Au départ, elle ne voulait pas rendre la veste, parce que ces hommes, même s'ils l'ont aidés, avaient l'air de voyoux eux aussi et lorsqu'il a parlé de terrtoire, elle avait vite fait le rapprochement avec la mafia locale. Seulement elle se sentait redevable quand même et puis de toute façon, sa vie était déjà merdique, elle pouvait pas vraiment être pire pas vrai? Alors un week-end elle se rendra au garage indiqué sur la carte, déjà c'était un endroit légale et y'avait un bar à côté donc potentiellement un endroit safe? Le mastiff était là et bossait sur une bécane. Elle lui tendra sa veste en lui disant qu'elle l'avait pas lavée parce qu'elle savait pas laver du cuir et qu'elle avait peur de l'abimer. S'en suivra une longue discussion à siroter une limonade pendant qu'il s'enfilait une bierre, où il la laissera vider son sac plus qu'autre chose et où il finira par lui demander si elle savait pourquoi ils étaient intervenus alors que c'était pas leurs affaires.

-Une histoire de territoire mafieux? Demande-t-elle cash ce qui fait rire d'un rire gras le bonhomme imposant. -Oui, mais pas que. Tu nous a appellé avec ton pouvoir, c'est la première fois que je ressentais autant le "besoin" d'aider quelqu'un. Elle savait pas qu'elle avait un pouvoir, elle se croyait sans talent aussi c'est pour elle une sacré surprise. De fil en aiguille, il finira par la prendre sous son aile, d'abord en tant qu'apprentie pour le garage, puis en lui fournissant un logement sur son terrain parce qu'était de plus en plus invivable avec son oncle et qu'elle finit par ravaler sa fierté mal placée et enfin parce que malgré le milieu dans lequel il trainait il était l'homme le plus "sain" qu'elle ai jamais cotoyé. Peu à peu, elle se tailera sa place au sein du groupe de l'ookami. Son tatouage de clan marqué dans la peau dès les 18 ans elle fera en sorte de ne jamais décevoir cet homme à la figure paternelle. Et lorsqu'il passera l'arme à gauche à cause de son cancer des poumons sans doute provoqué par trop d'excès, c'est naturellement que ces hommes se tourneront vers elle pour prendre les décisions parce qu'il l'avait bien formée, même son second à lui préfèrera lui céder la main, prétextant être trop vieux pour ces bétises et qu'il était temps de laisser la place à un sang nouveau.

Depuis, elle dirige l'ookami d'une main de fer dans un gant de velours. Elle peut volontiers aussi bien utiliser la carotte que le baton pour mater ses hommes mais la plupart finissent par épprouver du respect pour elle même les plus réfractaires. Quand à ceux qui viennent en espérant la détronner, elle leur souhaite bon courage.

Pouvoirs: Chant de la meute: Kiba peut appeller ses loups en renfort et les rallier à elle par ses cris. Même s'ils ne peuvent pas l'entendre physiquement, ils épprouvent le besoin de la rejoindre et chercheront à venir vers elle en sachant la direction à prendre pour ça. Sang de mon sang, chair de ma chair: Kiba peut soigner les blessures d'un membre de son clan en la léchant. ça prends du temps et il vaut mieux compléter par de la vrai médecine en cas de blessures grave mais ça peut être suffisant pour assurer des premiers secours et sauver une vie en attendant le vrai médecin.

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