Epidemia

OngakuK

Info


Created
1 year, 5 months ago
Creator
OngakuK
Favorites
4

Profile


Epidémia

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Surnom Celui qui n'a qu'un nom

Gender Masculin

Pronom Il

Age Inconnu

Race Dieu secondaire

Role Dieu de la maladie

Theme Blanche

Voix Sumashu

HTML Pinky

Resume

Les dieux ne se plaignent jamais de leur rôle, souvent ils sont craint pour leur puissance, d'autres aimer pour leur bien fait. Epidemia est simplement détesté et craint car il est connus pour son manque de pitié. Ravageant des villages, emportant n'importe qui à n'importe quel âge.

Mais personne ne le déteste plus que lui même...

Design

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Taille 1m80

Arme Inconnu

Yeux Jaune vif

Peau Très pâle

Cheveux Violet

Attribut Tatouage en forme de flèche sous l'oeil gauche

Comportement Inconnu

Notes

  • Même les dieux savent très peut de choses sur lui.

Personnalité

Amical Reservé
Poli Acerbe
Intelligent Fou
Sensible Dur
Brave Timide
Téméraire Prudent
Sincère Trompeur
Assidut Paresseux
Calme Irritable
Drôle Serieux

Très peu de personne connaisse vraiment Epidemia, il est capable de rester des jours dans une pièce avec d'autres personnes sans jamais ouvrir la bouche. Extrêmement discret et renfermé, il préfère écrire plutôt que parler. Il semble tellement effacé qu'il n'hésite pas à supporter les critiques sur lui sans jamais réagir.

Aime

1

Inconnu.

2

Inconnu.

3

Inconnu.

4

Nicolas.

Déteste

1

Son rôle.

Moodboard

Histoire

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Epidémia est né de l'union de Silmoras et Chymantis, très jeune son père lui expliqua qu'il allait devoir porter un poid très lourd sur ses épaules. De nature calme et timide, le jeune garçon fut effrayé. Comparé à sa soeur et son frère, Epidémia accepta très mal d'être un dieu de la mort, le pire d'entre eux. La viellesse était vu comme un passage obligatoire pour tous et bien vu, l'accident comme quelque chose de rapide, d'impossible à prévoir et simplement redouté, mais la maladie est lente, pleine d'espoir et d'ascenceur émotionnel. Epidémia vut un grand nombre de ses temples êtres attaqué par des familles dont l'un des membres venait de mourir, chaque mort, chaque espoir détruit, tout était de sa faute. Sur toutes les maladies qu'il avait créer, il était surement la pire.

Un jour il créa une bactérie extrêmement dangereuse pour punir les humains, il alla dans un village et laissa sa création oeuvré. Les habitants se tordirent de douleurs, leurs organes commencèrent à s'activer de plus en plus au point que certains se déchirait. Face à ce massacre sans arme ni haine, Silmoras apparut prèt de son fils. Le dieu était là, regardant le village devenir de plus en plus rouge, il ne bougeait pas, ne parlait pas et le long de ses joues caché par son voile brillait des larmes. Sans regarder son père il lui dit : "Un jour. J'arriverais à me soigner." Silmoras pensa que son fils voulait retrouver la paix intérieur. Mais Epidémia se voit comme une maladie, quand il sera guérit, c'est que la maladie aura disparus...

La chercheuse contre la maladie

Un jour comme un autre, Epidémia créa une nouvelle maladie infectieuse, comme a son habitude il alla dans le cimetière d'une ville, le lieu où il envoit la maladie la pluspart du temps afin que les morts puissent le juger. La maladie toucha tout le monde. En rentrant dans son enfer froid et sans âme, il vit que le compteur de mort n'avait pas particulièrement augmenté. Il retourna à ce village et vit qu'une femme sauvait les malades, en peut de temps elle avait comprit le fonctionnement la maladie. Epaté, Epidémia se mit à admirer cette jeune femme. Pendant des années elle réussit à contrer un grand nombre de ses créations, devant ça le dieu se mit à pleurer, heureux de voir que quelqu'un pouvait enfin sauvé les gens qu'ils devaient tué. Il sembla un peu plus heureux que d'habitude, remerciant les humains de lui prouver qu'on peut gagner contre la maladie. Peut être avait-il trop surestimé les humains ? Peut être c'était-il enfermé dans un déni pour maintenir en lui cette petit étincelle de joie qu'il n'avait jamais ressenti ? Personne ne sait, mais la prochaine maladie qu'il allait créer allait être plus violente que les autres. Trop puissante. La peste. Elle attaqua partout, ne laissa le temps à personne de faire des recherches dessus, le compteur de mort explosa et parmis toutes ses vitimes se trouvait la jeune chercheuse. Epidémia la vit mourir lentement dans son lit, la bougie sur sa table de chevet s'éteignit avec l'étincelle de joie du dieu.

Même le plus beau rayon de soleil ne traverse pas les nuages.

La vie du dieu se répéta, encore et encore. Des morts. Parfois des lueurs d'espoirs chez des chercheur, puis des morts. Des insultes. Des reproches. Des regards qui en disait long. Le seul endroit où le dieu se sentait bien c'était chez lui, enfermé. Parfois il sortait pour faire le tour des cimetières et s'occuper des tombes abandonnés Durant l'une de ses promenade il croisa un homme, essayant de l'ignorer pour qu'il s'en aille, mais l'homme semblait plus curieux qu'autre chose. Epidémia réussit à s'enfuir, mais dés qu'il retournait dans ce cimetière il le croisait, et cet homme lui parlait. Au fil du temps Epidémia craqua et fini par lui répondre. Lui cachant son identité, les deux hommes se raprochèrent et Epidémia fini par connaitre l'amour et l'admiration pour un homme à nouveau. Tout comme cette chercheuse il ne semblait pas terrifié par la mort ni par la maladie. En effet il essuya n'importe qu'elle vague de maladie sans soucis, rassurant le pauvre dieu s'attendant à le voir sur un lit, mort. Mais il n'y a pas que la maladie qui tue.

Un jour le jeune homme lui dit que la guerre avait éclaté avec le pays voisin, il allait être envoyé au front. Il semblait paisible, pour lui cette guerre allait être rapide et il promit à Epidémia de le tenir au courant. Les mois passèrent, Epidémia, étant un dieu, n'avait pas besoin de recevoir les lettres de son amant pour savoir ce qu'il se passait, il pouvait voir la guerre de lui même. Chaque bataille, chaque crise de larme de son rayon de soleil, chaque traumatisme qu'il voyait. Durant l'hiver, le camp du jeune homme fut détruit par les forces ennemis, tout autours de lui il vit ses amis se battrent pour leur vie en vain. Les corps tombaient et l'ennemi avançaient. Il décida de laisser un dernier message à Epidémia, un message qu'il trouverais sur son corps malheureusement. "Je ne reviendrais pas... Désolé." Epidemia le vit écrire ses mots sur un bout de bandage, tremblant. Les soldats le trouvèrent et le mirent à genoux. Devant lui il n'y avait que la neige, le froid et les cries des combattants autours de lui. Puis une silouhette. Il la reconnu vite, Epidémia le regarda droit dans les yeux. L'homme se mit à sourire, au moins il verrait son amant avant que la balle ne transperce son crâne. Le coup de feu ne calma pas les cris ni les hurlements, après tout ce rouquin n'était qu'un ennemi comme un autre. Mais petit à petit les cris et les coups de feu s'arrêtèrent. Au millieu de ces hommes couvert de sang passa une silouhette au long manteau, au grand chapeau et au masque terrifiant. Il s'arrêta devant le corps d'un jeune soldat roux, leva le bras et une armée de papillon rouge s'envolèrent autour d'eux. C'était son dernier au revoir. Suite à ça tout les soldats furent retrouver mort, détruit par une maladie qui avait attaqué leur coeur. Tout le monde était d'accord pour dire que c'était la faute d'Epidémia. Après tout... c'est toujours sa faute. Il le pense surement lui aussi, enfermé dans son bureau qu'il ne quitte plus.

Relations

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Finaliti

Petite soeur

Elle essaye sincèrement de le faire sortir de son bureau sans jamais perdre patience ou lui crier dessus, parfois elle lui ramène à manger pour éviter qu'il se laisse mourir de faim.

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Naturia

Grand frère

Il vient toujours lui demander comment il va, parfois il lui ramène des livres scientifique pour qu'il ne soit pas coupé du monde. Il a dit qu'il allait retrouvé l'âme de Nicolas, mais est ce qu'Epidémia voudra la revoir...

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Nicolas

Amant

Il était tout pour lui, quand il est parti, Epidémia c'est enfermé dans une spiral de haine envers lui même. Tiraillé entre son devoir et ses envies. Alors à ses yeux il est la cause de la mort du jeune homme, parfois il rève qu'il est celui qui tien le fusil sur la tête de son amant.

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Scarlet

Amoureuse

Il aurait dût être moins horrible, il aurait dût faire attention. A cause de lui, l'humanité à perdu une femme prodigieuse qui aurait surement pus sauver des milliards de vie si Epidémia n'existait pas.