Profile
Calibéla Orlyx
Froid • Sans pitié • Déterminé
"Je suis si fatigué que je n'ai même pas remarqué que mes pas continuaient... je t'en supplis, brise moi les genoux."
Calibéla est une personne solitaire, froid et qui ne montre pas d'empathie pour les autres. Ou du moins pas clairement. Personne ne l'a vu sourire depuis bien longtemps au point que sa réputation et passé de simple terreur à légende. Nombre d'ennemis tremble en voyant se nuage de fumée noir, laissant émergé deux longues cornes. C'est grâce à son sang froid et à sa détermination que la famille Orlyx est devenus une grande famille. Tout ceux qui l'ont connus acclame sa force mental qui lui a permit d'affronter la mort sans peur et de tuer sans culpabilité.
Mais c'est une légende. Et comme toute légende on ne connait que ce que les autres ont décidé de garder dans leur souvenirs. La force ? Le sang froid ? Un monstre sans âme ? Mais personne ne connaissait vraiment cet homme. Solitaire oui, toujours seul. Même entouré par une foule il était seul. Calibéla est un homme qui a toujours eu l'impression de ne jamais existé malgrès les regards adorateurs envers lui. Si il se décrivait il serait un homme faible, épuisé, au bord du gouffre...
Notes
- Son corps est couvert de coupure, personne ne sait qui les a faite mais les rumeurs disent que c'est sa propre mère qui les auraient faites.
- Sa réputation a tellement grandit que maintenant l'espèce des oryx est mal vu.
- Sa voix est rauque et détruite par la cigarette.
Tempérament
Aime
- Le silence que lui offre son bureau.
- Le whisky pur pour oublier.
- Allez à l'Eglise.
- Le repos...
Déteste
- Le regard des gens, aussi bien adorateur que terrifié.
- La couleur bleu, mauvais souvenir.
Moodboard
Il était une fois ...
Dans une savane grise et sans âme, naquit un jeune oryx et sa soeur. Les deux petits furent rapidement séparé par un mur, la soeur devait devenir plus belle que les déesse, le frère plus fort que les dieux, c'est ce que voulait les parents. Alors les deux s'efforcèrent d'exaucer les souhaits de leur géniteurs. Pas de jeux, pas de joie, juste le poid beaucoup trop grand posé sur ses frêles épaules, le jeune oryx continua d'avancer. Il essaya de se consoler en se disant que sa soeur vivait la même chose et qu'il devait être fort pour elle, pour la tirer loin de cette endroit sans couleur. Mais la réalité le rattrapa bien vite... Là où sa soeur avait des compliments, lui recevait des coups, là où les gens louaient sa beauté, lui n'entendaient que ses défauts être soulignés par des insultes. Mais il tenait, pourquoi ? Même lui ne le savait pas, mais il devait tenir...
Sa soeur fut promise à une autre grande famille. Tout semblait allez pour elle, mais elle refusa ce sort et s'enfuit. Au lieu de cracher leur colère sur la fugitive, les parents estimèrent que si ils avaient eut un fils assez fort pour la maintenir ici, rien de tout ça ne se serait passer. Les mois passèrent, laissant le jeune oryx devenir plus fort, plus froid, moins vivant. Une fois adulte, il était devenus une arme qui obéissait sans réfléchir, il avait besoin d'obéir, car c'était la seule chose qu'il lui permettait de croire qu'il avait un rôle à jouer ici bas.
Même fort, on ne le reconnus pas. Non pas qu'il ne l'était pas assez, mais sa soeur fugitive avait fini par critiquer sa propre famille, détruisant l'image que son frère s'évertuait à maintenir pour éviter les coups de son père. Alors l'oryx fut envoyé retrouvé sa soeur. Il ne lui fallut pas longtemps. Mais une fois qu'il trouva sa soeur, elle le regarda avec mépris. Les mots furent dur. "Tu n'a jamais été fort, regarde toi ! Aucune volonté dans ton regard, même les hyennes ne voudrait pas de toi". Calmement, de sa voix grave, l'oryx demanda à sa soeur de se calmer et d'arrêter de critiquer sa famille qu'elle avait abandonner. Il n'avait pas envie de faire du mal à sa soeur et encore moins en voyant son ventre rond. Il voulait juste que ça s'arrête, que tout s'arrête. Elle ne se calma pas. Le coup parti. Ne laissant que le silence et la sentation désagréable du sang coulant le long de ses cornes jusqu'à inondé son visage. Il se tenait là, devant ce qu'il restait de sa soeur. Il n'avait pas envie de continuer, pourquoi ? Même lui ne le savait pas, mais il devait continuer...
Il revint dans son troupeau, il n'avait même pas remarquer que ses pas avançait tout seul. Traversant le troupeau alors que le sang tachait encore sa tête. Son père le regarda avant de retourner dans son coin, il n'était plus aussi fort qu'autre fois, son corps semblait devenir de plus en plus faible. La nouvelle fut donné plus tard, le chef du troupeau était malade et la mère de l'oryx demanda à tout le monde d'aller chercher des remèdes. Aux yeux de l'oryx, son père ne pouvait plus avancer, il ne pouvait plus soutenir le poids de ses erreurs. Alors il ne restait plus qu'une solution. Avant même que le troupeau se divise, l'oryx s'avança vers son père faible. Le coup parti. Le sang se mélangea au sang séché de sa soeur. Sa mère essaya de le blesser, elle y arriva, mais il tenait toujours debout. Encore et toujours. Alors le coup parti. Et le silence envahi le troupeau.
L'oryx devint chef.
La créature du lac
Le poid sur son dos augmenta, écrasé par les attentes des autres et les vies qu'il avait prises. Depuis longtemps il ne savait plus à qui était le sang sur son pelage. Personne n'osa défier cette créature couverte de rouge dont les yeux froid n'émettait aucune once de vie. Il dût fonder une famille à cause des nombreux regards et de la peur de perdre tout l'empire que les générations d'ancêtres avait créer. Il voulait aimer cette femelle, mais son coeur n'avait jamais appris à aimer. Il voulait aimer les enfants qu'elle lui donna, mais il n'y arrivait pas. Sa compagne et ses enfants le haïssairent, ils avaient beau être proche de lui, aucun d'eux n'arriva à briser la carapace qui entourait son coeur. Alors il abandonna l'idée d'être un bon père, il serait un bon bouc émissaire.
Un jour, les membres de son troupeau commencèrent à disparaitre. D'après les témoins ils étaient tous dévorer par l'eau d'un étang au centre de la savane. L'oryx alla de lui même voir cet étang. Il était noir avec de légère teinte de rouge causé par le sang des victimes noyées et dévorées. Il s'arrêta devant le lac et vit la fameuse cause de ce carnage, deux yeux jaunes le fixaient depuis le centre du lac. Il s'approcha, les yeux s'approchèrent. Etrangement l'oryx voulut se faire dévorer, il fixa la créature s'approcher, mais contrairement aux autres oryx qu'elle avait dévorée, elle ne l'attaqua pas. Au lieu de ça elle sortie de l'eau. Un énorme crocodile lui fit face, beaucoup plus grand que les autres de son espèces. Sans un mot, les deux créature s'attaquèrent sans animosité, elles jaugèrent leur adversaires. Chacune creva l'oeil droit de l'autre, comme un souvenir indélébile de leur rencontre.
Le sang coula de leur globes occulaire crevé, mais aucun son de douleur. A la place le crocodile regarda son adversaire. "J'ai déjà vu des lions se vanter de leur puissance avant de pleurer sous mes crocs, des girafes se croire inatégniable grâce à leur taille jusqu'à ce que je leur brise le cou, des gazelles pensé que leur vitesse les sauveras avant que je leur brise les jambes d'un coup. Mais toi tu ne te vante d'aucune de ses choses alors que tu as les trois. Tu pourrais me tuer et devenir le plus grand chef de la savane. Alors pourquoi ? Pourquoi ton regard semble si triste... ?"
Pour la première fois depuis longtemps, l'oryx se senti écouter. Il expliqua sa vie à son ennemi et se senti triste de voir qu'un crocodile avait réussi à lire en lui là où tout son troupeau ne voyait que des mensonges. Au fil des jours l'oryx retourna voir le crocodile. Les deux devinrent amis sans s'en rendre compte. La présence de l'un était le seul réconfort pour l'autre et inversement. Un jour l'oryx demanda à son ami pourquoi il restait avec lui. Ce dernier lui répondit : "A travers le sang que tu as fais coulé et l'image forte que tu essaye de maintenir je vois tes yeux tristes incapables de pleurer et de laisser couler toute la peine que tu renfermes, je vois ton dos détruit par la culpabilité, je vois tes genoux trembler à cause de l'épuisement et je me vois moi." Le crocodile avait raison, l'oryx serait bientôt à bout...
Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre que son corps allait lacher comme celui de son père avant lui. Mais il refusa de demander de l'aide, il allait confronter son fils ainé, un oryx puissant et enervé. Avant d'accepter sa mort, l'oryx alla voir son ami et lui dit : "Je pense qu'une fois mort, personne ne me pleurera..." Son ami ne répondit pas. Un fois face à son fils, l'oryx le confronta. Il n'attendait que ça. Le coup parti. Et enfin il ne senti pas le sang couler sur ses cornes.
Le fantome d'une légende
Peut etre que la vie ne l'avait pas pardonner, peut être n'avait il pas assez souffert au gouts des dieux. Mais l'oryx revint sous la forme d'un démon. Sa fatigue et sa haine envers lui même l'avait bloqué sous cette forme. Il décida d'aller voir son troupeau de loin. Ils semblaient plus heureux qu'attristé par sa mort, ses enfants fêtèrent sa mort ainsi que la fin de sa tyranie. Il aurait pus se sentir triste, mais il devait continuer d'avancer, encore, et encore. Ne voyant pas son corps, il décida de suivre la grande trace de sang. Les traces le menèrent au lac. Silencieux comme d'habitude, personne n'était là. A part le crocodile, il était là, fixant le cadavre de son ami qu'on lui avait jeter en pature. Il ne bougeait pas, mais des larmes coulaient de son seul oeil valide. L'oryx regarda cette scène. Et pour la première fois depuis des années il pleura, toucher par l'amitié énorme qu'éprouvait le crocodile pour lui. Le reptile l'entendit et le vit au loin, cette silouhette dressé fièrement pour la première fois, le visage couvert de larme. Le démon s'approcha du reptile et posa sa tête contre la sienne. Les deux furent heureux pour une fois.
Le démon se mit à vivre dans les environs du lac, terrifiant ceux qui s'approchait avec de mauvaise intention. Un jour le crocodile lui dit qu'il avait entendu que l'un des clans ennemis à sa famille allait s'en prendre aux fils de l'oryx. Alors il était temps que la légende reprennent vie. Ses fils furent attiré dans une embuscade, le chef des ennemis donna le signe à ses alliées embusqué d'attaquer. Mais personne ne vint. Quand le chef leva les yeux il se figea, les deux fils suivirent son regard et virent la silouhette noir et droite de leur père, légèrement fumeuse tel un esprit, autours de lui giseait les corps des ennemis. Un frisson parcourut la famille tandis que les mots de l'oryx s'élevèrent... "Je suis Calibéla Orlyx. Seul et unique chef de cette famille car peut importe le poids du malheur je reviendrais pour protéger les miens."
Une femme brillante qui recevra une punition bien trop dur pour elle. Mais tout acte doit être punis. Calibéla c'est toujours senti mal de lui infligé ça, mais il devait montrer l'exemple et elle lui rappelait beaucoup trop sa soeur.
Il a le physique d'un monstre et un mental assez spécial, mais aucun homme ne fut aussi proche de Calibéla. Il serait prêt à sacrifié sa vie pour cet ami qui lui est si chère car il est surement la seule personne qui ait vraiment aimer le chef de la mafia comme un vrai être humain.
Elle est forte comme lui, mais elle a réussi à aller plus loin que lui. Elle a des passions, des émotions qu'elle laissent éclaté au grand jour, des amis qui la soutiennent. Il ne lui a jamais montré mais Calibéla est très fière d'elle et de ce qu'elle a put devenir.
On pourrait croire qu'il déteste son fils, mais Calibéla a toujours voulut que ses enfants soient fort pour affronter les malheurs qui allaient pesé sur son dos. Il est toujours un peu surpris de voir les relations de Philippe mais il reste énormément fier quand il le voit faire preuve de détermination sans faille et d'autorité.
Il est un peu trop sensible parfois mais Calibéla refuse de se dire que c'est de la faute de son fils. Certaine personne ne sont pas faite pour supporter le poid de la douleur et Calibéla aurait dut s'en rendre compte plus rapidement. Il a cassé son fils et accepte pleinement la culpabilité. Si il devait dire un message à son fils ce serait de chérir ceux qui l'entoure et de ne jamais ressembler à ce qu'il a été de son vivant.