Frogowak

POline

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Created
4 years, 10 months ago
Creator
POline
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Profile


  • Frogowak

  • Age 25 ans (apparence) | 31 ans (âge réel)
  • Sexe Masculin
  • Race Goule
  • Statut Mort
  • Profession Assassin
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"N'aies pas peur, ta chair risque d'avoir mauvais goût après"

Frogowak est très instable : il suffit que vous disiez un mot de travers ou que vous ayez une attitude qui l’énerve et il vous tuera (et vous mangera après). Cela fait de lui quelqu’un de particulièrement dangereux car il est totalement imprévisible et a tendance à céder à ses pulsions meurtrières. Il est tout sauf loyal, mieux vaut ne pas lui donner sa confiance.

Il est complètement dérangé : c’est un véritable psychopathe et cannibale qui aime dévorer le cœur de ses victimes. Cependant, contrairement à d’autres goules, il agit intelligemment et sait se faire passer pour un vivant. En effet, Frogowak est loin d’être bête et sait anticiper les actions de ses victimes même s’il arrive que, parfois, sa faim perpétuelle altère ses perceptions. Très cruel, il adore traquer ses victimes avant de les massacrer : c’est son jeu préféré. p>

La goule a du mal avec l’autorité. Plutôt dominant, il déteste qu’on le dirige, c’est pour cela qu’il est du genre solitaire. Néanmoins, il a conscience qu’il lui faudra se ranger auprès d’autres morts et travailler avec afin d’avoir une chance de renverser la famille royale. Il est aussi plutôt arrogant, ce qui agace les autres membres de la guilde, plus faibles que l'élite dont il fait partie.

Il est cupide et avide de pouvoir ; il souhaite mener une guerre contre les vivants à l’instar de la Grande Révolution des morts afin de permettre aux défunts d’accéder au pouvoir. Sa haine envers les Valentyne et l’Ordre d’Ashaï n’a fait que grandir depuis l’exécution de sa mère.

Informations personnelles


Anniversaire :29 décembre
Signe astrologique :Capricorne
Taille :1m89
Poids :78 kg
Familier(s) :Aucun
Seiyuu :Nope
Groupe de travail :Guilde des voleurs
Titre :"Le Cannibale", "Le Fantôme”, "L’Éventreur”
Armes :Épée à une main et demi, dagues, griffes, dents
Niveau :Plutôt bon avec ses armes mais particulièrement redoutable et dangereux avec ses griffes acérées
Style de combat :Combat au corps à corps, rapproché | Style offensif

Statistiques


Force
Dextérité
Constitution
Intelligence
Raison
Charisme
Coopérativité
Faim

« All I want is a little of the good life »


Fils unique d’une famille de classe moyenne, Frogowak vit le jour durant le solstice d’hiver. Sa mère, Diane, femme au foyer et son père, Alarik, forgeron, formaient un couple uni. Le père apprit très tôt à son fils à manier les épées qu’il forgeait et c’est naturellement que l’enfant prit goût aux combats et souhaita devenir un grand salvateur quand il serait grand. Agressif et très sûr de lui, Frogowak n’avait pas beaucoup d’amis à l’école et revenait souvent avec des cocards, des égratignures ou des bleus mais ses « adversaires » revenaient la plupart du temps avec le double de ce qu’il avait subi. En effet, le garçon était plus fort qu’eux et n’hésitait pas à cogner. Chaque jour, c’était Diane qui s’occupait de panser ses blessures. Elle s'occupait aussi de soigner les jeunes enfants qui se blessaient en jouant dans les rues. Très attentionnée et maternelle, elle avait un véritable don pour aider les autres à guérir rapidement. Les marmots allaient la trouver dès qu'ils se faisaient mal et elle se faisait un plaisir de les aider. Frogowak était quelque fois jaloux de devoir partager sa maman mais il demeurait admiratif quant à sa capacité à soigner. Sa mère c'était la meilleure magicienne à ses yeux.

Malheureusement, un "don" n'était pas le bienvenu à la Cité du Soleil. Surtout en ce moment, pendant la purge. Les parents des enfants trouvaient sa faculté à soigner très suspecte : elle était forcément un mage, il n'y avait aucune autre raison. Elle fut dénoncée par la suite à l'Ordre d'Ashaï puis exécutée injustement pour "sorcellerie". La mort de Diane bouleversa le patriarche et Frogowak fut en proie à une haine violente contre l’Ordre d’Ashaï et les Valentyne, responsables de la destruction de sa famille, de la mort de sa mère innocente. Il s’entraîna plus durement, seul, son père étant trop anéanti pour l’aider à faire quoi que ce soit, afin de devenir un puissant salvateur et réduire à néant les responsables. Durant cette dure période de deuil, Frogowak et son père purent compter sur le soutien d’Edd et de sa famille, des amis de longue date. Le jeune garçon se lia d’amitié avec leur fils, Aaron, de deux ans plus âgé. Grâce à cette amitié, Frogowak se calma et il parvint petit à petit à faire son deuil.

« I will not die »


Un jour, Edd, accompagné d’Aaron, invita Alarik et son fils à l’accompagner chasser une araignée des neiges dans les Montagnes du Dragon. Cette invitation plut à Frogowak : il avait soif d’aventure et désirait prouver sa force en aidant à tuer cette araignée.

Cependant, tout ne se passa pas comme prévu. Une violente tempête de neige sépara les deux garçons de leurs pères respectifs. Complètement perdus et aveuglés par la neige et le vent glacé, Frogowak et Aaron chutèrent dans un ravin. Après un moment d’inconscience, Frogowak finit par se réveiller. Son bras droit cassé le faisait souffrir mais le pire, ce fut quand il vit le corps inerte d’Aaron dont la tête avait heurté à un rocher. Le ravin n’était pas si profond et Frogowak tenta d’escalader maintes fois mais rien à faire, son bras l’en empêchait. Il était condamné à rester coincé ici, en attendant sa mort prochaine. Allait-il mourir de faim ? De froid ? Dévoré par un animal ? Plus les jours passaient et plus le garçon était faible et perdait tout espoir d’être retrouvé. Ses joues étaient creusées, il était efflanqué, squelettique. Il mourait de faim. Tous les jours, il voyait le corps de son ami et tous les jours, il s’empêchait de commettre l’irréparable. Mais, ce jour-là, il ne trouva pas la force de résister : il ne voulait pas mourir, il ne pouvait pas laisser son père seul, ni renoncer à son destin de salvateur. Il ne méritait pas cette fin. Il la refusait. Alors, il fit ce qu’il avait à faire. La folie le guettait dangereusement.

Le corps d’Aaron, conservé par le froid, lui permit de survivre et Frogowak finit par être retrouvé par son père. Quand Alarik lui demanda comment il avait fait pour rester en vie aussi longtemps, il ne dit rien. Son père comprit au travers du regard vide de son fils que celui-ci avait mangé Aaron pour subsister. A la fois horrifié mais soulagé d’avoir retrouvé son enfant, Alarik fit promettre à Frogowak de ne rien dire, ni à Edd, ni à personne. Traumatisé par ce qu’il avait dû faire, le jeune garçon à peine âgé de 13 ans devint de plus en plus solitaire et de plus en plus instable. Le traumatisme affecta aussi ses beaux cheveux blonds qui commencèrent à blanchir, devenant aussi blafards que la neige des montagnes. Il perdit la couleur de ses cheveux et une partie de lui. Son père ne savait plus quoi faire et plus le temps passait, moins il reconnaissait son fils.

« You bring out the beast in me »


Frogowak devenant de plus en plus agressif, son père décida de l’enrôler à l’armée, dans l’espoir que ses supérieurs réussiraient à le « mater ». Au contraire, le jeune homme, bien que doué, avait régulièrement des problèmes avec ses supérieurs dont il refusait les ordres. Il reçut plusieurs avertissements pour débordement mais son talent et ses capacités rares prédominaient sur son insubordination. Ce fut durant cette période que le jeune salvateur commença à avoir le goût du sang. En effet, plus il tuait et plus il se sentait puissant, plus il ressentait le besoin de tuer de nouveau. L’armée ne l’avait pas calmé, au contraire, cela n’avait fait qu’intensifier son instinct de tueur et développer ses pulsions meurtrières. L’accident à la montagne avait été l’avènement de sa folie, l’armée en était la poursuite.

« Feeling the blood run inside »


Les attaques de brigands se faisant de plus en plus fréquentes, on envoya un petit groupe armé de salvateurs pour aller déloger un clan qui s’était établit dans les Montagnes du Dragon et qui semait la terreur aux alentours, menaçant les frontières de la Cité du Soleil. Le groupe était dirigé par le commandant Dean et était composé de neuf jeunes hommes qui devaient faire leurs preuves afin d’espérer gravir un échelon. Frogowak faisait partie de cette escouade et demeurait particulièrement nerveux quant au lieu de leur mission. Les Montagnes du Dragon. Là où il avait failli perdre la vie. Là où il avait dû céder au cannibalisme pour rester de ce monde.

D’après les informations reçues sur l’emplacement des bandits, il leur faudrait environ une semaine à cheval pour y aller. Peut-être plus si, en ce temps d’hiver, les éléments étaient contre eux. Équipés en conséquence, l’escouade partit accomplir sa mission.

Le temps était relativement clément ce qui facilitait la traversée. Chaque membre étant équipé de quelques sacs de nourriture, ils ne mourraient pas de faim, étant donné qu’ils avaient assez de quoi tenir bien qu’il n’y ait aucun animal à chasser dans les montagnes, à part peut-être des araignées des neiges. Cependant, celles-ci savaient bien se camoufler et puis, mieux valait ne pas prendre de risques inutiles. Un jour, alors que tous étaient en train de dormir, ils entendirent des hurlements d’alerte. Une araignée colossale se dressait devant eux : contrairement à ces hommes, elle, elle avait faim. Après un bon moment de lutte, Frogowak et Dean, aidés des autres parvinrent à la faire fuir. Seulement, l’animal avait tué trois d’entre eux, et trois sacs de provisions avaient été retrouvés sur les neuf que possédaient les victimes, emportés par leur cheval en fuite.

Les hommes commencèrent alors à réduire leur consommation ce qui était à l’origine de quelques disputes. Les accès de colère de Frogowak, dus à son traumatisme, se firent de plus en plus nombreux et la gourmandise de Mélicent n’arrangeait pas les choses. En effet, ce bon gros homme ne pouvait s’empêcher de grignoter en secret, amenuisant les réserves. Il reçut plusieurs avertissements de Dean et eut droit de se faire plaquer contre une paroi et soulever par le col par un Frogowak dont l’angoisse du manque grandissait de jour en jour. Comme pour empirer les choses, les tempêtes de neige étaient de moins en moins espacées et toujours plus violentes que les précédentes, ce qui causa la chute d’un autre soldat et de son cheval dans un ravin, emportant de nouveau avec lui la précieuse nourriture qu’il possédait.

Tout comme le reste du groupe, Mélicent était de plus en plus stressé et il commença à avoir peur de mourir, souhaitant de nombreuses fois faire demi-tour, agaçant le reste de l’escouade qui touchait bientôt à son but. Dans cette atmosphère de tension permanente, ce n’était qu’une question de temps avant qu’il n’y ait la goutte d’eau qui fait déborder le vase. Cette goutte arriva durant la traversée d’un précipice, quand Mélicent fit tomber toutes les provisions qu’il gardait en ouvrant ses sacs pour grignoter une fois de plus. Et là, ce fut impardonnable, ce fut la crise. Ils n’allaient jamais tenir pour le retour. Mélicent avait beau s’excuser à chaque seconde, tout le monde commençait à devenir fou. Surtout Frogowak qui fut pris de nombreuses fois à tabasser le pauvre homme. Toute la troupe commençait à péter un câble à part Dean qui tentait de garder son sang-froid et de calmer les autres, sans succès. Le cauchemar du jeune salvateur se répétait.

« They think I’m crazy but they don’t know the feeling »


Le lendemain, aucune trace de Mélicent. Certains pensaient qu’il s’était lâchement enfuit, d’autres qu’il s’était suicidé, pris de remords. Personne ne le dit mais cette phrase était présente dans la tête de tout le monde : « Tant mieux, cela fera une bouche de moins à nourrir. ». Frogowak laissa sa part aux quatre autres hommes ce jour-là, il leur dit que pour l’instant il tenait le coup. Ils arrivèrent enfin au lieu indiqué dans l’après-midi. Il n’y avait rien, le néant. Les indications étaient erronées ou les bandits s’étaient installés ailleurs. Ils ne le surent jamais. Ils avaient perdu cinq hommes pour rien. Ils avaient beau regarder aux alentours, continuer leur expédition : aucune trace de civilisation. L’escouade perdit un autre homme ce jour-là : il s’était suicidé. Les jours se faisaient toujours plus sombres, le temps toujours plus désastreux, la température toujours plus basse. Deux hommes moururent de froid : ils ne restaient plus que Dean et Frogowak, sans aucune nourriture. Les deux survivants étaient faibles, fatigués et affamés. Frogowak avait proposé de nombreuses fois de manger le cadavre conservé par le froid, affirmant que c’était l’unique moyen de s’en sortir mais Dean lui interdisait toujours, révulsé par ses paroles. Un jour, Frogowak, poussé par la faim, déclara qu’il allait se nourrir du soldat dont le corps bleui et recroquevillé gisait non loin d’eux. Son supérieur lui interdit. Frogowak le regarda droit dans les yeux et lui dit qu’il se fichait de son avis et qu’il allait le faire, avec ou sans son accord. Dean ouvrit grand les yeux, horrifié et s’écria :

« Mais t’es malade ! On ne va pas le manger, c’est complètement inhumain ! T’es un monstre ! Je ne sais pas ce qui s’est passé quand t’étais petit mais t’as vraiment perdu la boule ! Psychopathe ! Je te jure si tu fais ça je te pourrirai en rentrant et jamais tu ne seras gradé ! Jamais tu m’entends espèce de taré ? »

Les insultes du commandant transpercèrent Frogowak de toutes parts. Rongé par la faim et la folie, le salvateur se jeta sur son supérieur et l’empala sur son épée avant de lui briser la nuque. Il sentit le sang chaud sur ses doigts. Il ne s’était jamais senti aussi bien. Le lendemain, il était rassasié.

Deux jours après, il fut retrouvé par une nouvelle escouade, venue les rechercher. Il raconta leur mésaventure, les fausses indications, les morts de chaque salvateur. Sans oublier de préciser que Dean était mort de froid. Il donna ce qui restait du défunt à ses supérieurs : à savoir, une simple sacoche.

« So you can throw me to the wolves…


Par la suite, Alarik eût vent du terrible échec de l’escouade et de son seul survivant : Frogowak. Quand son fils revint, le père le serra dans ses bras et lui demanda comment il avait fait pour survivre. Là encore, il croisa le regard vide de sa progéniture et il comprit. Frogowak était peu amaigri malgré l’absence de provisions, il avait quelques antécédents pas terribles avec le commandant et surtout, la mission était en montagne. Aux Montagnes du Dragon. Le salvateur avait tué des hommes et les avaient mangés. Son fils était un meurtrier, un cannibale, un fou. Épouvanté par sa découverte, il s’empressa de tout dévoiler aux supérieurs de son fils : son accident à la montagne et comment il avait survécu, son comportement violent, sa version des faits à propos de la mission. Les salvateurs prirent Alarik pour un fou mais ils gardèrent ses paroles en tête. S’ils avaient un meurtrier, qui plus est un cannibale dans leurs rangs, il fallait à tout prix s’en débarrasser.

Ils retrouvèrent plus tard une preuve majeure : le journal de bord de Dean. Dedans était racontée l’expédition de A à Z : l’attaque de l’araignée, les accès de colère de Frogowak et son comportement de plus en plus violent et instable, l’accident et la mystérieuse disparition de Mélicent, les fausses infos sur les bandits, le suicide du soldat et pour finir les propositions répétées de Frogowak, voulant manger leur compagnon. Il n’en fallut pas plus aux salvateurs qui ordonnèrent l’exécution de Frogowak pour « cannibalisme et meurtres ». Il mourut, trahi par la seule famille qui lui restait : son père.

…Tomorrow I’ll come back, leader of the whole pack »


A sa plus grande surprise, Frogowak se réveilla. Il était censé être mort ! Comment s’en était-il sorti ? Il porta les mains à son visage. Elles étaient normales à une exception près : des boursouflures déformaient sa peau devenue encore plus pâle, laissant deviner des griffes rentrées sous sa peau. A présent, il était une goule.

Il commit de nombreux massacres à ses débuts, ayant du mal à s’adapter à sa nouvelle condition. Mais quand il fut capable de s’adapter, c’est là qu’il devint le plus dangereux. Ayant le goût du sang, il prit de plus en plus de plaisir à tuer, n’attaquant plus au hasard, dissimulant sa nature. Enfin, il fit ce dont il rêvait depuis qu’il s’était relevé : il massacra son père et lui dévora le cœur. Il lui rendait la monnaie de sa pièce. Avec le temps, la goule devint de plus en plus cruelle avec ses victimes et de plus en plus puissante. Elle tuait aisément, restait quelques jours sans se nourrir, se reposant et se fondant dans la foule en plein jour, puis tuait de nouveau. Seulement un jour, il choisit la mauvaise victime. Il mit en pièces un jeune enfant devant les yeux de sa mère, impuissante. Il se régala de son Mana puis se dirigea vers la femme, prêt à faire de même. A ce moment, elle le repoussa puis le maudit :

« Tu as tué un enfant, MON enfant ! Un monstre dans ton genre doit connaître un châtiment pire que la mort ! Je te condamne à être perpétuellement affamé. Plus tu tueras et plus tu auras faim. Tu ne seras jamais rassasié. Il ne se passera pas un jour sans qu’une faim monstrueuse ne déchire tes entrailles. »

A ces mots, ce fut comme si on tranchait l’épaule gauche de Frogowak. Cette douleur à la fois brûlante et glacée était insupportable. Son sang forma un symbole qui progressivement s’encra dans sa peau. Quand il releva la tête, la femme avait disparu. Déjà, la sensation qu’il avait ressentie durant l’accident revenait : la Faim. Le besoin de se nourrir. Il venait à peine de dévorer l’enfant et il avait l’impression de ne rien avoir mangé depuis plusieurs jours. Cette seconde vie n’était pas pour lui une seconde chance, c’était sa pénitence. p>

«I feel the rage and I just can’t hold it »


Frogowak travaille à présent comme assassin, ce qui lui permet de gagner de l’argent tout en se nourrissant. De nombreux nobles font appel à ses services de qualité. Dans la guilde, on le surnomme « Le Fantôme » en raison de la pâleur de ses cheveux mais aussi car il est très solitaire et on l’aperçoit peu ; ou alors « L’Éventreur » en raison de l’état des dépouilles de ses victimes.

Frogowak recherche aussi d’autres morts, notamment des liches, pour organiser la Seconde Révolution des morts. Des rumeurs comme quoi James Wintrycraft ne serait pas vraiment morte sont parvenues à ses oreilles et il compte bien vérifier si celles-ci sont fondées.

Les Valentyne et l’Ordre d’Ashaï doivent être anéantis. Le temps des vivants est révolu. C’est au tour des morts de récupérer le pouvoir que l’on leur a enlevé depuis bien trop longtemps.

Credit